lunes, 20 de octubre de 2008

COMPAÑIA MINERA CANADIENSE EN TERRITORIO AUTOCTONO EN OAXACA.




octobre 18th, 2008

Sous un nouveau colonialisme, l’envahissement des territoires des peuples originaires par les grandes Entreprises est un thème d’actualité.
Plusieurs communautés résistent jour après jour face aux ravages que fait le système capitaliste sur leur culture, leur territoire qui selon la vision autochtone, n’est pas à vendre et elle doit se travailler avec respect. Du saccage tel que se permettre les grandes compagnies et les multinationales à l’insu ou au désaccords de la population affecte de plus en plus au niveau de la santé, de l’écosystème,encourage le délogement de communautés entières mais face à c’est envahissement et à c’est agression,les résistances s’organisent.
En 2007, dans l’autre monde AC, a observé l’augmentation importante des exploitations minières et le lien avec beaucoup de projets de grandes compagnies qui sont les plus grands consommateurs d’énergie, d’eau, de terres et des rivières. Face à cela, est née laproposition de communiquer les expériences entre quelques membre du Mouvement Mexicain Affecté par es Entreprises et en Défense des Rivières (Mapder). Peu à peu laliste de communauté, personnes et organisations a augmenté.
Des rencontres ont été organisés dans le but de r partager leurs expériences, pour se connaître et créer des stratégies et alternative communes.
Dans la région de la Cañada dans l’état de Oaxaca au Mexique ont pris connaissances q’une Entreprises Minières canadienne venait de s’installé dans cette región ayant comme objectif d’exploiter une mine avec un potentielle de trouver de l’or, du zinc et de l’uranium. Ce matériel est le résultat d’un travail de recherche du Centre d’Etude dela Région Cuicateca (CEREC) depuis les 2 dernières années. Ils ont découvert le projet d’exploitation minier qui s’appelle «LA RAQUELITA» sur le territoire de la municipalité de Saint Jean Tepeuxila (San Juan Tepeuxila) et Sainte Marie Papalo(Santa Maria Papalo). Les informations ont été trouvés entre autre sur internet et directement dans plusieurs communautés de cette région, il est possible de voir qu’il existe plusieurspreuves visibles des études réalisées pour l’exploitation.
Durant le mois de juin 2005 l’équipe de rechercher de CEREC, ont trouvé une carte qui se nomme Carte Géochimique pour Zinc Oaxaca E14-9 laquelle est complémenté avec la Carte Géologique Minière de Santiago Nacaltepec. Ceux-ci ont plusieurs séries d’étude qui ont été réalisé par différente équipe d’ingénieurs géologues au long de plusde 30 ans. Cette carte montre un bout de terre depuis Tehuacan dans l’état de Puebla jusqu’à la Sierra du Soconusco au Chiapas et ceci en traversant tout l’état de Oaxaca.
Devant c’est faits le CEREC, en coordination avec les commissaires de Saint Jean Tlacolula et Saint Jean Teponaxtla, ont initiés le travail d’information dans les communautés à travers de deux rencontres communautaires qui se nomme «Rencontre en défense de l’intégrité territorial et de la vie communautaire » où c’est manifesté le désaccords des communautés face à cette attentat contre leurs intérêts et en même temps ont fait valoir leurs compromis de s’opposés à l’exploitation de leurs ressources naturelles, à la destruction de leurs forme de vie et de la nature. Il est nécessairede mentionné que cette opération minières à été faite sans mettre au courant les communautés et s’en leurs consentements. En passant par-dessus toutes formesjuridiques et légitimes qui garantissent les droits des communautés autochtones de l’état de Oaxaca et de la république du Mexique telle comme, la Constitution politiquedu Mexique, la constitution politique de l’état libre et indépendant de Oaxaca, la lois des droits des peuples et communautés autochtones de l’état de Oaxaca, leCONVENIO ? 169 de la OIT et la déclaration universelle des droits des peuples autochtones de l’ONU, lesquelles nous Font parts qu’il ne se peut, au moins légalement, affecté les intérêts des communautés sans les avertir de l’impacte et de l’implication de tout projets qui les affectent directement. Donc face à se type de projet comme celui-ci,nous pouvons constater que cette entreprise canadienne est dans l’illégalité complète. Devant se projet CEREC à commencé une campagne d’information en défensede la survie et de la culture cuicateca.
Le 16 août 2006, la compagnie minière Zapata, S.A. de C.V. a renoncé à seprojet mais à partir de 2007 la nouvelle concession de la RAQUELITA1 à été légué àALMADEN MINERALS LTD, compagnie canadienne qui se spécialise dans l’exploration et l’exploitation de l’or.
L’exploitation minière est depuis toujours une activité qui affecte à haut niveaunotre entourages, notre santé, et la nature qui se développe.
Les mines modernes, connus comme les mines à ciel ouvert, sont beaucoup plus destructives, elle consiste à démonter premièrement la zone à exploiter pour ensuite utiliser des charges de dynamites pour ouvrir d’énorme puits lequel peut atteindre jusqu’à un km de diamètre, dans certains cas ils peuvent utiliser jusqu’à plus de vingttonne d’explosifs par jour. Depuis l’an 2000 jusqu’à aujourd’hui, environ 10% du territoire national a été légué aux transnationales par des concessions pour lesexploitations minières. La menace sur plus de centaines de milliers de kilomètre carrés de terre, qui la majorité sont sur des terres ejidales ou communal (dans les communautésla forme d’organisation est basé sur la communalité, chaque personne ont leur parcelles de terres qui ne peut se vendre.) sur les territoires autochtones, augmente sur tout le territoire national où se trouve identifié 23 postes miniers gigantesques. L’affectation première se trouve dans les sources d’eau. L’autre problème généré par les exploitations minières à ciel ouvert est la grande quantité d’eau utilisé. Selon des experts laquantité d’eau occupée par l’exploitation pendant une heure équivaut à celle utilisé par une famille de cinq pendant vingt temps. Ce qui préoccupent beaucoup les gens des communautés qui vont être affecté directement dans le cas de RAQUELITA1 d’autant plus que les sources d’eaux de la Cañada qui sont les sources utilisées par les communautés se trouvent dans la partie haute exactement où ils ont commencés l’exploitation. Dans le cas où ils n’utiliseraient pas l’eau directement, le processus de la séparation des minerais, qui se nomme lixiviations ( ?) produits une grande contamination (mantos acuiferos), les déchets sont lancés dans les courantsd’eaux, lesquelles descendent jusque dans la partie basse qui est toujours de la Cañada, en plus de contaminer l’air, de tuer la végétation, la vie animale et la fin de toutes lessortes de vie dans cette zone. Alors d’ici 150 ans ceci sera le destin de la région Cuicateca si nous nous opposons pas à ce type d’exploitation qui sont bénéfique seulement pour les capitalistes, et qui est contraire à la visión autochtone qui lutte depuis plus de 500 ans contre la disparition de leur culture et les respect à la mère terre qui est de la plus haute importance.
Devant ces informations désastreuses, il est importants que nous nous informions et organisons car le ravage des transnationales et des compagnies minières affectent en majorité les peuples autochtones et les gens les plus pauvres d’autant plus que tout c’est projets se font à l’insu et sans le consentement des communautés. Le Canadaest un des pays les plus impliqués dans les exploitations minières au monde, nous devons nous opposer et prendre conscience de l’impacte au quotidien et dans le future que l’exploitation minière a sur les communautés, sur l’écosystème et sur notre mère terre. La résistance devient une nécessité face au néo-libéralisme qui sont des projets de destructions et de morts.

Terre et liberté


Pour plus d’information:


www.papelescuicatecos-cacayivacu.blogspot.com

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